Eprouvette

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WONDERWALL#11 • Alber

Wonderwall #11, œuvre de Alber. L’application de la couleur à la bombe, tradition oblige, donne relief et lumière à ces assemblages révélant un visage aux proportions démesurées, de face, de profil ou de trois-quarts, le regard bleu et fixe sous les lourdes paupières. Regard en coin tel un guetteur ou un veilleur.

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La mue de l’Yeuse

la mue de l'yeuse, œuvre de Mika

Hôtel l’Yeuse La mue de l’Yeuse L’hôtel l’Yeuse de Cognac opère sa mue depuis 2016 sous les mains de Street Artistes talentueux. Un nouvel opus de l’association Eprouvette. Les artistes investissent les chambres de l’hôtel pour proposer à sa clientèle une réelle immersion artistique et poétique #2022 #2021 – On parle de sur sur France TV #2020 #2020 – on parle de nous sur France 3 #2019 #2016

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WONDERWALL#9 • Sema Lao

Jardiner n’est pas qu’une affaire d’arrosage, de soleil et d’engrais.
L’œuvre « Permaculture » met l’accent sur l’importance de préserver et nourrir la biodiversité dans nos jardins, enrichir la terre, préserver les sols et non seulement les plantes, car la nature ainsi protégée et soutenue, a ensuite le pouvoir de faire pousser la vie à profusion

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WONDERWALL#8 • Jam

WONDERWALL#8-JAM à la fondation Martell

Cette fresque collective est un « jam » (rencontre artistique entre graffeurs), réalisé au cœur de la fondation Martell pour l’art contemporain. Syrk, Dylem, Easy, Sema Lao, Gnafu, Dino et Perro sont intervenu dans le bâtiment industriel pendant les travaux au cours de l’hiver 2018 . Chaque artiste est venu défendre son projet en fonction des quelques contraintes imposées par la dimension du mur.

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WONDERWALL #7 • Sale caractère

wonderwall7-sales-caracteres-cognac-streetart-7

Fresque réalisée par le duo « sale caractère » représenté par deux artistes travaillant ensemble, messieurs calmets et kegrea.
une vanité est une représentation allégorique de la mort, du passage du temps, de la vacuité des passions et activités humaines. si le thème est très ancien, puisqu’on le trouve déjà chez les antiques, il se constitue comme genre autonome vers 1620, à leyde, en hollande, pour se répandre ensuite tout au long du xviie siècle en europe, particulièrement en flandres et en france. prisées à l’époque baroque, les vanités vont quasiment disparaître au xviiie siècle

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